L'auteur raconte (ou se raconte) l'histoire (ou son histoire), d'un jeune journaliste critique littéraire reconnu, très parisien et bobo, César, qui tombe amoureux fou d'une jeune espagnole Paz, artiste photographe.
Alors que César lassé et usé d'avoir parcouru le monde pour couvrir guerres et conflits, n'aspire qu'à vivre tranquillement en Europe, Paz étouffe dans le moindre carcan et ne souhaite que départs nouveaux et lointains.
Une plongée dans l'amour fou et absolu entre une femme aux fêlures extrêmes qui sans cesse s'échappe, fuit et se perd avec volonté et un homme qui essaie, même au prix d'un enfant, de la retenir.
Attirée et fascinée par les eaux profondes et les requins qui y vivent, Paz rejette tout y compris la gloire, pour disparaître au bout du monde au plus près de ces monstres silencieux.
Une bonne description des sociétés en déliquescence, une analyse très juste des conflits politiques et économiques avec l'influence souvent néfaste des puissances dites civilisées et le passage obligé dans ces soirées mondaines où il faut être vu donnent à ce roman un côté réaliste, moralisateur et people.
L'auteur connaît tout ça, il sait de quoi il parle.
Le roman se veut un hommage à l'amour absolu et à la transmission sur fond d'art moderne et d'expression artistique mais les personnages trop caricaturaux et les expressions trop modernes ou trop ampoulées rendent l'histoire trop prévisible au risque d'être affligeante.
Dommage.
Une plongée dans l'amour fou et absolu entre une femme aux fêlures extrêmes qui sans cesse s'échappe, fuit et se perd avec volonté et un homme qui essaie, même au prix d'un enfant, de la retenir.
Attirée et fascinée par les eaux profondes et les requins qui y vivent, Paz rejette tout y compris la gloire, pour disparaître au bout du monde au plus près de ces monstres silencieux.
Une bonne description des sociétés en déliquescence, une analyse très juste des conflits politiques et économiques avec l'influence souvent néfaste des puissances dites civilisées et le passage obligé dans ces soirées mondaines où il faut être vu donnent à ce roman un côté réaliste, moralisateur et people.
L'auteur connaît tout ça, il sait de quoi il parle.
Le roman se veut un hommage à l'amour absolu et à la transmission sur fond d'art moderne et d'expression artistique mais les personnages trop caricaturaux et les expressions trop modernes ou trop ampoulées rendent l'histoire trop prévisible au risque d'être affligeante.
Dommage.
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