
Si l'écriture est percutante, crue parfois, elle reste lourde dans ses répétitions . Le récit détaillé de cette désespérance ne m'a pas émue. Les questionnements incessants m'ont agacée et font de ce témoignage une suite d'évènements rendant la narratrice superficielle ou faussement profonde. Le sujet est intéressant, mais être l'héroïne provocante de fêtes allant au bout de la nuit, dans un luxe et un milieu privilégiés fait oublier sa détresse fondamentale.
Il est vrai qu'il n'est pas nécessaire d'écrire un nouveau "sans famille" pour émouvoir mais le sujet aurait pu être traité d'une manière plus sobre et moins tape à l'oeil.
1 commentaire:
"Sans famille" , l'original d'H. Malot, fait toujours partie de mes classiques préférés, Ma.
Faire le lien et la comparaison entre Rémi qui s'est retrouvé à jouer les saltimbanques avec le Signor Vitalis, avant de retrouver sa véritable mère; et cette femme qui s'égare dans les hautes sphères du luxe, pour oublier sa différence; je préfère moi aussi Rémi!
Bisous,
Sam.
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