
Un récit pur, Syngué Sabour ou l'orient à la rencontre de l'occident.
je veux encore rouler des hanches,je veux me saouler de printempsje veux m'en payer des nuits blanchesà cœur qui bat, à cœur battantavant que sonne l'heure blêmeet jusqu'à mon souffle dernierje veux encore dire "je t'aime"et vouloir mourir d'aimerBarbara
2 commentaires:
Oui, je crois au pouvoir des mots, Ma. Comme il peut y en avoir qui peuvent faire du mal, il y en qui peuvent faire le bien. Des mots qui peuvent apaiser les "âmes en lambeaux", les âmes qui saignent, quand il m'est donné de percevoir leur souffrance non dite, et qui est d'origine morale.
Sans doute parce que c'est la seule souffrance qui ne se voit pas nécessairement à l'oeil nu, elle a besoin des mots projetés sur le papier pour s'exprimer, dans un but thérapeuthique, pour qu'on en soit délivré.
Je crois que c'est ce que cet auteur a fait en racontant l'histoire de cette femme, en prenant pour racine un conte parlant d'une pierre capable de guérir toutes les souffrances qui lui ont été révélées. Et effectivement, c'est trés beau.
Bisous, Sam.
P.S: Désolée d'être si bavarde! *lol*
merci pour ton mail, oui c'est un très beau livre
les mots peuvent guérir les maux ou pas tout est là..
bon je me dépêche j'ai ma formation toute la journée
à plus
bisous
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